MALADIES PULMONAIRES :

Stratégie d’attaque en médecine naturelle

 

 

Selon les projections de l’Organisation mondiale de la santé, en 2013, les maladies pulmonaires seront la troisième cause de mortalité dans le monde. Alors que la médecine classique est   relativement   démunie   devant  ce  problème  et  propose  l’éternelle   trilogie « cortisone – broncho-dilatateurs – antibiotiques », la médecine naturelle offre de vraies solutions thérapeutiques pour réduire la production de mucus pulmonaire, traiter l’inflammation et combattre les infections.

 

Les trois grandes maladies pulmonaires

 

  • La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO)

 

            Sous ce terme barbare se cachent deux maladies que sont la bronchite chronique et l’emphysème, toutes deux caractérisées par une difficulté respiratoire, une toux chronique et un excès de mucus bronchique encombrant les voies respiratoires.

 

            Principalement due au tabac, la BPCO est aussi la conséquence de l’exposition chronique à certains polluants (ciment, solvants, poussières de silice, gaz toxiques, produits utilisés en agriculture). La pollution automobile ainsi que la pollution domestique (moisissures) sont également incriminées tant dans l’apparition que dans l’aggravation de la maladie.

 

            Sur le plan des symptômes, la maladie débute de façon insidieuse, vers la cinquantaine, par une toux matinale accompagnée d’expectorations de mucus. Ensuite, la situation empire progressivement avec l’apparition d’un essoufflement, d’une respiration sifflante et d’une fatigue constante.

 

            Au niveau du traitement, la médecine officielle propose des broncho-dilatateurs et de la cortisone pour lutter contre l’inflammation chronique des bronches.

 

  • L’asthme

 

            L’asthme se caractérise par une inflammation des bronches pouvant engendrer des crises pendant lesquelles le calibre des voies respiratoires se rétrécit. Ces crises se déclenchent surtout lorsque le sujet se trouve en présence de stimuli bien précis comme certains allergènes (poussières de maison, poils d’animaux, pollens) ou certains polluants (pollution atmosphérique, fumée de tabac).

 

            Il est important de savoir que l’asthme peut être provoqué ou aggravé soit par certains aliments comme le lait de vache, les sucreries, les oeufs, les poissons, les crustacés, les noix et les arachides soit par certains médicaments comme l’aspirine et les anti-inflammatoires.
Le traitement classique associe ici aussi des broncho-dilatateurs et de la cortisone.

 

  • La mucoviscidose

 

            La mucoviscidose est une maladie héréditaire grave à transmission autosomique récessive (le gène doit être reçu du père et de la mère pour que la maladie se développe). Un peu moins de mille enfants naissent chaque année en France, touchés par cette maladie.
Le diagnostic se fait dès le plus jeune âge suite à l’apparition de troubles respiratoires et d’une diarrhée chronique. Cependant, ce sont les troubles pulmonaires qui font que les enfants atteints de mucoviscidose vivent rarement au-delà de 40 ans. En effet, l’anomalie génétique est responsable de la fabrication d’un mucus bronchique particulièrement visqueux, provoquant une toux grasse épuisante et des infections respiratoires récidivantes qui se transforment en insuffisance respiratoire chronique, souvent mortelle à terme. La médecine n’a à offrir que peu de solutions, mis à part les antibiotiques prescrits à longueur d’année pour juguler les infections pulmonaires.

 

Médecine naturelle : les traitements courants


            En médecine naturelle, on trouve de nombreuses plantes qui peuvent apporter un soulagement aux personnes atteintes de maladies pulmonaires. La plus connue des plantes à visée respiratoire est bien sûr l’eucalyptus ou le lierre grimpant. Les praticiens chinois recommandent souvent les fleurs de tussilage (tussilago farfara). Toutefois, le soulagement apporté par ces plantes, bien que réel, est souvent insuffisant pour venir définitivement à bout de ces pathologies.

 

            Il faut aussi citer une plante très prometteuse qui semble pouvoir apporter des résultats au long cours dans le traitement de l’asthme : le Boswellia serrata dont la résine est utilisée en médecine ayurvédique. Une récente étude clinique menée à la Faculté de médecine de Los Angeles a en effet démontré une nette amélioration des symptômes de l’asthme chez les patients traités avec cette plante (disparition du « ronchu », volume respiratoire amélioré, moins de crises).

 

Les trois clés d’un traitement efficace

 

1 – Traiter l’excès de production du mucus pulmonaire

 

            Le moyen utilisé par les poumons pour se débarrasser des agents étrangers que nous respirons est une immuno-réaction. Ces agents étrangers (particulièrement l’ADN bactérien) induisent la production d’interleukine 8 (IL-8), une substance pro-inflammatoire qui augmente la production de mucus pulmonaire et active les globules blancs contre les envahisseurs. Malheureusement, l’ADN des globules blancs qui ont été tués dans cette bataille va être considéré comme un nouvel agent étranger au poumon qui va engendrer une nouvelle immuno-réaction… un véritable cercle vicieux.

 

            Pour traiter l’excès de mucus, des chercheurs américains se sont inspirés d’un concept homéopathique : la théorie des semblables. Ils ont déduit que, puisque l’ADN était responsable de cette réaction en chaîne, il fallait employer de l’ADN pour l’arrêter. Ils ont ainsi élaboré un complément nutritionnel (vendu en Europe sous le nom de Mucolynat), fabriqué à partir de l’ADN des saumons sauvages du Pacifique.

 

            Il ne s’agit pas de manipulation génétique mais d’une technique brevetée qui permet à la fois une extraction ciblée de l’ADN du saumon et la réalisation d’une dilution énergétisée semblable aux médicaments homéopathiques.

           

            Des études cliniques privées ont démontré que ce produit augmente la force et la fréquence de battement des cils pulmonaires, ce qui favorise l’élimination naturelle du mucus pulmonaire. En outre, il rend le mucus moins visqueux, facilitant encore son expectoration. Au cours de ces études, les médecins se sont enfin aperçus, un peu par hasard, de l’efficacité du produit dans le cas de sinusites ou d’otites.

 

 

 

 

 

Mucolynat s’utilise toujours pur, sous la langue pendant 20 secondes avant d’avaler.

Attendre 5 minutes avant de boire ou de manger.

 

·         Jour 1 (premier jour du traitement) : 1 goutte sous la langue toutes les 15 minutes pendant 1 heure (= 4 doses). Ensuite, 1 goutte toutes les heures jusqu’au coucher.

 

·         Jour 2 et Jour 3 : 1 goutte 4 fois par jour (après chaque repas et au coucher)

 

·         Jours suivants : maintenir 1 goutte 4 fois par jour dans les pathologies chroniques.

 

Le produit peut être administré aux très jeunes enfants (à partir de 6 mois).

 

Indications

 

·         BPCO (bronchites chroniques et emphysème) : facilite l’expectoration du mucus pulmonaire ce qui améliore la respiration (mesurable au niveau des tests pulmonaires). De ce fait, la qualité de vie de ces patients est bien meilleure (performances physiques plus grandes, nuits sans toux). Durée du traitement : en continu.

 

·         Asthme sécrétoire (avec surproduction de mucus). Durée du traitement : environ 10 jours.

 

·         Sinusites aiguës et chroniques : facilite le drainage des sinus. Durée du traitement : sinusites aiguës : 7 jours. Sinusites chroniques : 1 mois.

 

·         En cas d’otite aiguë, on obtient 90 % de guérisons en 48 heures. En cas d’otite chronique (otite séro-muqueuse de l’enfant), il faudra quelques semaines au plus.

 

·         Mucoviscidose : le traitement va permettre de réduire, voire même de supprimer les infections pulmonaires récidivantes, tout en améliorant la qualité de la respiration. C’est un progrès majeur dans la prise en charge de la mucoviscidose qui permet d’augmenter l’espérance de vie de ces patients.

 

2 - Traiter l’inflammation des bronches.

 

            La deuxième étape de la stratégie d’attaque consiste à traiter l’inflammation des voies respiratoires responsables de l’hyperréactivité bronchique qui est à l’origine des crises d’asthme. J’utilise une plante méconnue mais pourtant très efficace : Rhododendron dauricum. Cette plante contient en effet une série de principes actifs qui expliquent son efficacité : quercétine (antihistaminique), farrerol (antitussif et expectorant), hydroquinone (antitussif), scopolétine (antihistaminique), myricétine (antiallergique, antihistaminique et broncho-dilatateur), menthol (antiasthmatique et décongestionnant), acide ursolique (antihistaminique), camphre (décongestionnant et expectorant).

 

           

 

3 - Traiter les infections broncho-pulmonaires

 

            L’usage des antibiotiques devrait être réservé aux cas graves car la majorité des infections pulmonaires répondent parfaitement aux huiles essentielles.

 

Voici un mélange qui me donne satisfaction :

 

H.E.     Eucalyptus  radiata       3 ml

H.E.     Ravensara aromatic      3 ml

H.E.     Eucalyptus dives          3 ml

H.E.     Melaleuca alternifolia 3 ml


8 gouttes en massage sur le thorax et le dos 3 à 4 fois par jour.

 

            Selon les cas, il ne sera pas nécessaire d’en passer par les trois étapes du traitement.

           

            Ainsi, pour la BPCO et la mucovicidose, l’étape 1 peut suffire sauf en cas de toux excessive ou de difficulté respiratoire (étape 2), ou en cas d’épisodes infectieux (étape 3).

 

            Pour l’asthme, l’étape 2 suffira parfois, sauf en cas d’asthme sécrétoire avec expectoration de mucus (étape 1).

 

            Mise en garde : les patients sous traitement classique à base de cortisone qui désirent opter pour le traitement naturel doivent diminuer progressivement leurs doses de cortisone mais ne jamais arrêter brutalement.

 

  • Adresse :

 

Mucolynat (10 ml soit environ 200 gouttes : 44 €).

+ Port : 7 € (gratuit si commande > 150€).

 

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